Toute perte de mobilité peut provoquer un déséquilibre de l’état de santé. Chez le sportif, cela se traduit par différents symptômes allant de la simple gêne à la douleur chronique, altérant de toute façon les performances.
L’ostéopathe du sport intervient sur 2 plans : préventif et curatif : de la thérapie d’accompagnement à l’acte d’urgence ostéopathique, en passant par l’aigu vers le chronique. L’ostéopathe qui s'intéresse particulièrement aux sportifs se doit de respecter l’unité du corps, la globalité anatomique et physiologique, tout en considérant le patient dans sa particularité d’athlète soumis à certaines contraintes.  La demande d’un sportif est souvent expresse et exigeante, une prise en charge dans les meilleurs délais facilite la guérison et accélère la reprise du sport.
Votre ostéopathe à Vienne est formée à une prise en charge spécifique des sportifs avec son diplôme : Ostéopathe du sport et de l'urgence. 

Le sport, bienfait ou traumatisme ? 

Le sport est essentiel pour le corps, à l’heure où un certain nombre d’emplois ne fait plus appel au physique il est primordial de le compléter par une activité sportive régulière. Une activité physique dans la semaine permet au corps de garder sa tonicité et donc un bon équilibre du squelette. L’ostéopathe intervient sur le sportif occasionnel comme sur le sportif de haut niveau. A partir d’une fréquence d'entraînement importante, les sportifs soumettent leur corps à un certain nombre de contraintes majeures. L’ensemble des structures biomécaniques est sollicité (articulations, muscles,tendons,ligaments). Il est donc primordial que l’équilibre de ses différents éléments soit absolu. L’ostéopathe du sport, dans un suivi régulier, permettra de diminuer la survenue et de limiter la gravité des blessures.
Le traitement ostéopathique permet essentiellement une meilleure concentration avant l’effort et une récupération optimale après. L’ostéopathe du sport peut participer à l’amélioration des performances sportives : en ajustant au mieux les différentes structures, en permettant l’augmentation de l’amplitude des mouvements ainsi qu’en donnant une meilleure perception de son corps au sportif.

Quand consulter ? 

  • en prévention pour faire un bilan (conseillé tous les 6 mois), pour préparer une épreuve, au début d’une sensation gênante (afin d’éviter l’installation de la douleur)
  • en curatif : suite à un choc pour rééquilibrer les structures, après un traumatisme important (fractures, entorses, opérations)
  • en cas de : chutes sans traumatismes particuliers, tendinites, douleurs musculaires, essoufflement à l’effort, maux de tête, vertiges et tout autre troubles non forcément liés à la pratique sportive.